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QuillBot

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QuillBot réunit, au sein d’une même interface, un outil de reformulation, un correcteur grammatical, un résumeur, un générateur de citations, un traducteur, un détecteur de contenus rédigés par une intelligence artificielle et un vérificateur de similitudes.

Le plan gratuit permet de reformuler jusqu’à 125 mots à la fois et donne accès à deux modes de reformulation.
les offres payantes débloquent neuf modes prédéfinis (plus un mode personnalisé), des fonctions étendues et des limites relevées (par exemple 6 000 mots pour le résumé). Le vérificateur de similitudes est inclus dans les offres payantes avec une allocation mensuelle indiquée à 25 000 mots sur la page officielle.

Côté positionnement, QuillBot est reconnu comme référence du segment “reformulation”, souvent comparé à Grammarly : plusieurs analyses le placent devant pour reformuler, avec un coût annuel plus bas, tandis que Grammarly reste plus riche pour la révision stylistique approfondie.

Des exemples d'utilisations

  • Clarifier un paragraphe, varier la formulation, puis résumer un chapitre en quelques phrases clés.
  • Améliorer la fluidité d’un courriel, harmoniser le ton et corriger les erreurs en temps réel.
  • Produire des variantes d’un passage pour un article ou une publication sociale, puis vérifier les similitudes avant mise en ligne.
  • Traduire un extrait et générer les références bibliographiques dans le style souhaité.

Les avantages

  • Reformulation, résumé, correction, traduction, citations, détection, tout est accessible depuis le navigateur
  • 9 modes prédéfinis (formel, créatif, concis, développement, etc.) et mode personnalisé si on rentre pas dans les clous du rendu voulu
  • Régulièrement cité comme meilleur choix pour reformuler face aux concurrents généralistes orientés “correction globale”.

Les inconvénients

  • 125 mots par reformulation et deux modes seulement, le plan gratuit reste au mieux « minimaliste »
  • Des tests indépendants signalent des faux positifs et faux négatifs dans le detecteur de contenus rédigés par IA, les IA peinent parfois à se reconnaitre entre eux et on ne peut que recommander encore à ce jour une lecture humaine attentive.
  • Les établissements d’enseignement encadrent l’usage des outils de reformulation.
    la tendance 2024-2025 souligne la faible fiabilité des détecteurs et pousse à des consignes d’usage transparent.
    Utiliser QuillBot pour améliorer sa propre prose reste acceptable, mais passer un texte rédigé par un générateur pour le “déguiser” pose problème et n’assure pas l’indétectabilité.
    En gros passer par une IA pour déguiser une autre IA est au minimum mal vu.
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