BlueGPT
BlueGPT
BlueGPT n’est pas seulement un “assistant LinkedIn” : c’est une plateforme unifiée qui regroupe plus de 40 modèles d’IA pour rédiger, générer des images, analyser des documents et automatiser des tâches via des agents personnalisés (à la manière des GPTs).
Le tout dans une même interface (dossiers, tags, recherche, exports)
Côté positionnement, BlueGPT vise surtout la production et l’orchestration de contenu (textes, images, agents, lecture de PDF).
La documentation officielle met l’accent sur ces briques, pas sur une planification native de posts ou un suivi analytique “LinkedIn-like”. Pour publier/mesurer à grande échelle sur LinkedIn, on complétera donc avec un outil social dédié.
Des exemples d'utilisations
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Linkedin & réseaux sociaux : cadrer un angle, générer un premier jet, préparer le ton de marque, puis finaliser avant programmation dans un outil tiers.
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Préparer réponses types, emails et briefs, ou créer un agent qui réutilise vos prompts/process internes.
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Analyser des PDF/documents, extraire des infos, synthétiser, puis produire des variantes adaptées aux canaux.
Les avantages
- Hub multi-modèles : bascule entre modèles (texte, image, etc.) dans une seule UI — pratique pour comparer rendus et coûts.
- Agents personnalisés : assistants réglés pour l’écriture, le marketing, le code, le légal… réutilisables par l’équipe.
Les inconvénients
- Pas une suite “social” complète : la planification/suivi natifs pour LinkedIn ne sont pas documentés, prévoir un outil tiers (Buffer, Hootsuite…) pour la distribution et l’analytics.
- La polyvalence peut dérouter au début, l’usage dépend d’un modèle d’abonnement/crédits.
- Les posts générés par IA enregistrent en moyenne –30 % de portée et –55 % d’engagement, d’où la nécessité d’une révision humaine (authenticité, exemples concrets, opinion).
- Plus de 50 % des longs posts LinkedIn seraient désormais assistés par IA, se différencier exige du signal humain.
